Ces dernières années, j'ai pensé qu'un certain type de scolarisation avait servi de variable d'ajustement pour des raisons d'ordre budgétaire. Je n'avais pas mesuré à quel point il y avait, derrière ces choix, des convictions véritablement idéologiques. Si nous sommes passés entre 2002 et 2012 d'un peu plus de 30 % de scolarisation des moins de trois ans à 10 %, ce n'est pas uniquement pour des raisons budgétaires : c'est parce qu'en réalité, vous êtes contre.