Nous sommes deux Alsaciens à cette heure sur les bancs de l'UMP, mais je crois que nos aspirations rejoignent celles des Bretons : nous sommes un certain nombre à considérer qu'il ne faut pas que l'anglais soit la seule langue vivante enseignée à nos jeunes Français car nous avons besoin de diversité linguistique.
L'Europe s'est aussi construite grâce à cette diversité linguistique et nous sommes nombreux, y compris de ce côté de l'hémicycle, à être défavorables à cet amendement. En Alsace, la première langue vivante dont nous assurons la promotion est évidemment l'allemand.
(L'amendement n° 403 n'est pas adopté.)