Cet amendement s'inscrit dans la lignée de l'ambition portée par ce texte. En effet, le présent projet de loi n'est pas simplement quantitatif ni seulement qualitatif : il parle au contraire de la République avec des actes et de l'ambition.
L'amendement propose de substituer aux termes « école maternelle », totalement impropres au regard de ses missions, les termes « première école » dans le code de l'éducation – ma collègue Barbara Pompili défendant pour sa part l'expression « école première ».