Je m'étonne de la manière dont le surcoût que cela allait engendrer pour les collectivités a pu être chiffré.
Les collectivités n'ont pas attendu que le ministre propose une réforme des rythmes scolaires pour mettre en place des activités péri-éducatives. Le mercredi matin, beaucoup de communes – en tout cas j'en connais au moins une – prennent en charge les enfants. Dorénavant, c'est l'éducation nationale qui aura le mercredi matin la responsabilité de cette prise en charge. Ces activités ne seront donc plus à la charge de la commune. Du coup, il leur sera possible de redéployer leurs finances sur l'ensemble des autres jours.