Franchement, mes chers collègues, on ne peut priver les collectivités locales de 3,5 milliards d'euros pour les années à venir ! La réforme des rythmes scolaires induit en effet des coûts. Le souligner, monsieur le ministre, n'a rien d'une posture politique. La recherche de financement et l'organisation pratique sont des difficultés bien réelles. Il s'agit là de questions pragmatiques et concrètes, non de déclarations politiques partisanes et idéologiques.
Il y a parmi nous des mères ! Ne me dites pas que la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires ne vous pose pas problème ! Soyez crédibles, ne le niez pas ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)