Par idéologie ou par ignorance – ce qui parfois revient au même –, vous avez résumé ce secteur à une aide fiscale aux très riches avec d'ailleurs un certain mépris pour ce type de travaux que vous avez l'habitude d'appeler « petits boulots ». Quelle erreur et quel mépris pour ces professionnels formés, qui font un travail difficile, délicat, de confiance avec des personnes fragiles, qui apportent du bien-être, de la qualité de vie,…