Monsieur le Premier ministre, tout ce que je vous ai écrit dans cette lettre, il n'y a pas un expert, pas un syndicat, pas une association, pas un parlementaire – pas même, soit dit en passant, au sein de votre propre camp – pas un élu, pas un chef d'entreprise, pas un citoyen qui ne le reconnaisse.
Faites le tout de suite ! Si vous aviez l'ombre d'un doute, sachez que c'est ce que souhaitent les Français. Je tiens à votre disposition, monsieur le Premier ministre, et j'en ai bientôt fini… (« Ah ! » sur les bancs des groupes SRC et écologiste.) Je comprends que mon discours soit douloureux pour vous…