Je pense à M. Chaintron, proche de M. Montebourg – il était son assistant parlementaire – et depuis plusieurs mois mon voisin puisqu'il préside le conseil général de Saône-et-Loire. Il s'est lui aussi ému de cette réforme, qui va avoir des conséquences extrêmement graves.
Pas une seule voix, sur les bancs du groupe socialiste, n'exprime cette idée dans l'hémicycle. Je crains que, une fois que vous aurez fait passer votre loi sur le cumul des mandats, le caporalisme ait encore de beaux jours devant lui. Je le regrette profondément pour la vitalité du débat démocratique.
Vous avez consenti quelques avancées,…