En première lecture, animé par la volonté d'introduire la parité dans les exécutifs d'un maximum d'EPCI, j'avais cosigné avec Catherine Coutelle et Pascale Crozon un amendement en ce sens, qui avait été adopté. En deuxième lecture en commission, nous avons débattu à l'aune des réactions provoquées par ce texte. À cet égard, vos propos, ma chère collègue, s'ils ne sont pas inexacts, ne sont pas tout à fait complets : votre exemple reviendrait à interdire de facto aux maires des communes concernées d'être dans le bureau de l'EPCI.