Monsieur le ministre, nous n'avons pas peur d'aborder le débat européen, et nous n'aurons pas peur, d'ici à juin 2014, de vous mettre face à vos contradictions, car nous sommes, quant à nous, très clairs. Ce que nous disions avant mai 2012, nous continuons à le dire depuis lors. Nous disions, dans la majorité que présidait Nicolas Sarkozy, que l'Europe devait protéger les Français, et nous allons démontrer au fil des mois qui viennent que la manière dont l'actuel Gouvernement négocie les textes et les budgets européens ne les protège pas suffisamment.