Monsieur le ministre, n'oublions pas le 61e régiment d'artillerie et les drones de l'armée de terre !
La carte parle d'elle-même : il existe deux ou trois Mali. Vous avez dit que les opérations sur Kidal avaient été menées grâce à des alliances et à des partenariats avec les autorités locales touarègues. Quelle place envisagez-vous pour les populations touarègues après le conflit ? S'oriente-t-on vers une régionalisation, une autonomisation, une sécession ?
Pourriez-vous nous confirmer que nos forces ont pour mission de poursuivre leur progression vers le nord, en longeant la frontière algérienne sur toute sa longueur, jusqu'à Taoudenit ?