Je suis tout prêt à répondre, en ce début de matinée, à des questions qui ont déjà été posées hier et auxquelles j'ai essayé de répondre le plus complètement possible, mais je ne vais pas me répéter cent fois !
La préoccupation du financement est évidemment très légitime. J'ai abordé le sujet très directement dans l'étude d'impact, en donnant l'estimation de 1,5 à 2 milliards d'euros dans quelques années, lorsque tout sera en place. Il est naturel de donner cette information à l'ensemble des parlementaires.
Cela signifie bien entendu que les salariés et les entreprises vont bénéficier d'un dispositif fiscal plus avantageux. C'est une forme de participation au financement : les salariés et les entreprises ne vont pas être les seuls à participer à cette couverture complémentaire, il y a aussi une aide de l'État.
J'ai expliqué hier que ce financement, qui est extrêmement progressif, est intégré dans la trajectoire des finances publiques françaises.