Je souscris aux propos de notre collègue Hervé Morin, car j'ai l'impression que nous sommes vraiment coupés des réalités. Les choses vont tellement vite que ce qui était vrai hier ne l'est plus forcément aujourd'hui.
Notre principal souci – ainsi que le vôtre – serait plutôt de simplifier extrêmement la vie des entreprises et de permettre à nouveau la création de richesse sur notre territoire. Je ne vois pas comment on peut dire que le coût de l'article 1er est prévu dans les finances publiques, puisque celles-ci dépendent de la création de richesse.
(L'amendement n° 5410 n'est pas adopté.)