Au contraire, je trouve que ce procédé est très acceptable et que c'est le moment de discuter de ces questions.
L'ANI n'a pas réglé tous les problèmes, notamment les problèmes de précarité. Celui qu'a évoqué par Jean-Marc Germain touche particulièrement les femmes : il concerne les fameux services à la personne, sur lesquels on pense fonder la société, mais dont le développement s'accompagne d'une extrême précarité, car il s'agit d'emplois trop courts, en termes de temps de travail, qui ne permettent pas de vivre.
Je l'ai dit hier soir aux députés présents, et je l'ai demandé au ministre : puisque ce sujet n'est pas complètement bouclé, il faut…