L'échange que nous avons est assez surréaliste.
Vous vous interrogez sur les conséquences de la complémentaire santé prévue par l'accord national interprofessionnel pour les salariés des petites entreprises de moins de dix salariés. Mais pour citer encore une fois un proverbe de chez moi, « quand on sème des épines, on ne va pas sans sabot ». Et qu'il s'agisse de ceux qui siègent à droite comme d'une partie de ceux qui siègent à gauche, je constate encore une fois que nous ne sommes pas du tout du même côté de la barricade.