Je maintiens le mot de « déplorable », dont je craignais déjà qu'il ne soit fort.
L'entrée dans ce débat ne doit pas se faire par le soupçon. Nous devons expliquer ce que nous voulons faire avec les partenaires sociaux. Je ne dirai pas que nous posons les bases, car elles existaient déjà en pointillé. Mais, puisque nous construisons une maison solide, celle du dialogue social – d'ailleurs, le texte dont nous discutons aujourd'hui, et qui est issu d'un accord, est une des traductions les plus fortes du dialogue social au cours de ces dernières années –,…