Comme j'ai pu le dire en commission, il me semble que cet article 1er est reconnu par tous, y compris par M. Chassaigne, comme une avancée sociale réelle, même si un certain nombre de questionnements, que nous avons entendus, demeurent. Or pour qu'ils trouvent leur place dans le débat, il nous faut bien discuter de cet article 1er, notamment sur les questions relatives à certaines catégories de salariés ou d'employés, ou au niveau de la complémentaire santé.
Nous ne pouvons pas voter en faveur de la suppression de cet article 1er, puisque nous souhaitons qu'un débat se tienne et que les amendements qui seront défendus par les uns et les autres permettent d'améliorer le texte.