Il poursuit : « Ces livrets individuels, normalisés, organisent la concurrence de tous. Les “compétences” qu'ils enregistrent, y compris les “compétences” comportementales, les “compétences” que l'on n'a pas ou pas encore, sont à la base de la souffrance au travail, massivement ressentie aujourd'hui à travers la dévalorisation des personnes et la perte du sens de leur métier ».
Nous demandons la suppression de l'article 2, dont l'esprit va à l'encontre des intérêts des salariés, comme le démontre ce socialiste éclairé…