L'article 2 ne s'attaque pas davantage au financement du droit à la formation.
Par ailleurs, qui portera la centralisation des différents dossiers ? La question n'est pas réglée. Est-ce que ce sera l'État ? Ou bien les régions, qui se verront refiler la patate chaude ?
Derrière les affirmations de principe, cet article laisse l'impression d'une coquille vide. Pourtant, il ne faut pas se contenter de symboles, mais proposer des choses fortes, des financements, sans renvoyer à une loi de décentralisation qui, semble-t-il, est maintenant coupée en trois. C'est dire si l'on peut attendre longtemps !