Tout vient d'être dit, l'objectif du Gouvernement étant de permettre à M. Cavard et à M. Gille de présenter en séance les arguments qu'ils ont développés en commission, mais qui tombaient sous le coup de l'article 40. Depuis que j'ai moi-même déposé un amendement identique, l'irrecevabilité n'a plus lieu d'être. (Sourires.)
Le dispositif proposé va dans le bon sens : précision, ouverture, capacité de négociation. Je vous remercie infiniment de cet apport précieux.
Il ne m'étonne pas que M. Cavard, dont je ne peux que présumer les compétences, et Jean-Patrick Gille, qui a été l'un des meilleurs collaborateurs du président de la région Centre dans ces domaines, aient une telle capacité de persuasion ! (Rires.)