Lorsque nous avons étudié ces questions, il y a deux ou trois ans, nous avions le cas d'un agriculteur bio des Deux-Sèvres qui avait perdu son label. Cela a été démontré, il n'y a pas de coexistence possible : chaque fois qu'il y a eu des OGM quelque part, il y a eu contamination. C'est donc celui qui sème des OGM qui est responsable.