L'article 2 demeure une boîte vide, à un double titre : il ne contient pour l'heure que le DIF et, comme l'a relevé M. Chassaigne, son financement est loin d'être défini.
Le rapporteur – qui, je tiens à le préciser, effectue un excellent travail – a affirmé : « on veut ajouter des pages au code du travail », pour le simple motif, semble-t-il, que sa formation politique appartient à la gauche. Nous recherchons, quant à nous, l'efficacité et la simplification, grâce à des dispositifs opérationnels. Cela nous différencie sur le fond, sans qu'il s'agisse, monsieur le rapporteur, d'un clivage politique.
Tout en regrettant que l'ouverture n'ait pas profité à des amendements qui auraient mérité un sort meilleur que celui que vous leur avez réservé, nous voterons cet article qui nous paraît aller dans le bon sens.