Non, je n'irai pas jusque-là, cher collègue, parce que je connais l'esprit taquin du ministre ; je lui rends justice en l'espèce.
Je souhaite toutefois rappeler à M. le ministre du travail, en lui donnant acte de la rectification qu'il a apportée dans un second temps à son propos, ce dont je le remercie, que les moyens de communication modernes nous permettent aussi de suivre les débats dans nos bureaux à l'Assemblée nationale, grâce au circuit interne de télévision.
Ce n'est donc pas parce que nous ne sommes pas en séance que nous ne suivons pas le déroulement des travaux, monsieur le ministre !