Je crois plutôt que le ministre a souhaité repousser cet amendement, considérant – je lis un peu dans ses pensées à cette heure tardive ! – qu'il est satisfait par les dispositions existantes, avis auquel je me rallie.
Vous vouliez, monsieur le député, réaffirmer, comme la commission qui vous a soutenue, que ces jeunes aient de pleins droits chez leurs employeurs.