En Saône-et-Loire, une association accueille les femmes en danger pour les abriter, mais n'a jusqu'à présent reçu aucune communication sur l'ordonnance de protection – même la déléguée départementale juge le dispositif très compliqué. Or je pense que les déléguées départementales ont des messages très importants à faire passer et doivent s'emparer de ce sujet, sachant que le Gouvernement a clairement affirmé sa volonté de lutter contre les violences faites aux femmes.
En Charolais-Brionnais, quelques villes ont mis à disposition des logements d'urgence. Néanmoins, les collectivités sont éloignées des associations et du tribunal, d'où la nécessité d'un travail en milieu rural.