Je suis surtout inquiet de la disparition de nos entreprises et de l'extrême fragilité de notre tissu industriel, auquel le spectacle de l'activisme du ministre du redressement productif ne changera que peu de choses. Ainsi, telles sont les propositions qui me semblent s'imposer : la fiscalité écologique ne devra pas mettre en cause la compétitivité de notre pays ; elle devra se substituer et non s'ajouter à la fiscalité existante ; elle devra se fonder sur une assiette large et sur un taux uniforme ; elle devra concourir à la justice fiscale. La voie est très étroite. Qu'en pensez-vous ?