Je ne souris pas : le sujet est aussi sérieux que réel. J'entendais tout à l'heure l'un d'entre vous, M. Marleix je crois, souligner que les services publics s'étaient retirés d'un certain nombre de territoires. Cette réalité n'échappe à personne et elle nécessite que l'État réorganise sa présence : de là le débat sur les réseaux des préfectures, des sous-préfectures, mais aussi sur l'interministérialité. Nous devons être capables de nous appuyer sur l'évolution de la carte cantonale, sur celle des arrondissements ainsi que sur celle, toujours en cours, de la carte intercommunale.
D'ailleurs, monsieur Sauvadet, vous n'avez eu de cesse d'encourager la poursuite du dialogue.