Vous avez vanté l'action humanitaire de la France et les efforts déployés dans les territoires syriens libérés, présentant notre pays comme en pointe en ces domaines. Pourtant, des articles de la presse nationale et internationale évoquent une baisse de notre crédit sur la scène internationale. On lit ainsi que, lors de la réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies convoquée par la France, seul était là votre homologue britannique, les ministres des affaires étrangères américain, chinois et russe étant, eux, absents. Si c'est exact, comment analysez-vous leur attitude ?