Il arrive parfois que la présidence soit un peu rapide. C'est ce qui s'est passé lors de l'examen de l'article 2, alors que nous étions au tout début de ce grand voyage, où il était question de l'écotaxe poids lourds et de ses enjeux. Je ne remets pas en cause la présidence, qui est souveraine, mais sa décision a été contestée par un certain nombre de parlementaires. Nous avons donc jugé préférable de pouvoir délibérer de nouveau, afin de revenir à la rédaction antérieure de l'article 2.