Le consentement de la victime n'est en rien une cause d'irresponsabilité. Le souci de la CNCDH est de voir poursuivre non seulement la personne qui a procédé à l'excision, mais aussi les parents qui ont conduit leur enfant à l'étranger – ce qui est possible grâce à l'incrimination de l'acte de complicité.