J'aimerais remonter le moral de nos collègues UMP et, spécialement, de M. Fasquelle, qui semble désespéré ! Le travail parlementaire paraît toujours trop court, mais le texte a été déposé au début de septembre et nous aurons tout le temps de le travailler en commission. Certes, les documents ont cité le nom du rapporteur avant sa désignation officielle, mais reconnaissons que le suspense n'était pas insoutenable. Nous savions depuis juin que M. Brottes travaillait sur le sujet.
Dans un pays où le prix de l'énergie augmente et où 8 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté, il importait d'agir, d'autant que la consommation de cette énergie participe au réchauffement de la planète. Il y va aussi de notre intérêt économique, puisque l'indépendance énergétique de la France est en jeu. J'espère que, quand auront cessé les passes d'armes inévitables en période de rentrée, nous nous mettrons sérieusement au travail, afin d'enrichir le texte.