Sur le même thème, j'ajoute à l'approche de mon collègue la problématique de la difficile conciliation entre le court et le long terme ? Se consacrer uniquement à l'urgence, n'est-ce pas en permanence courir après des effets dont on ne traite pas la cause en risquant d'épuiser les moyens publics ? Quelle conciliation peut-on opérer entre le traitement du court terme, qui répond à un certain nombre d'urgences (pas forcément de la construction neuve mais aussi de la réhabilitation) et le traitement du long terme ?