Monsieur le président de la commission de surveillance, la Caisse des dépôts bénéficie depuis toujours d'une excellente réputation auprès des agences de notation. Celles-ci ont-elles été inquiètes après les mauvais résultats de la Caisse en 2012 et la modification de sa stratégie d'investissement ? L'assainissement global des comptes était nécessaire, avez-vous dit. Je partage ce point de vue. Peut-on désormais considérer que tous les dossiers sensibles sont clos ?
Monsieur le directeur général, dans un entretien récent au Figaro, vous expliquiez que la création de la BPI entraînerait une modification du plan stratégique de la Caisse des dépôts qui allait notamment renforcer son volet international auprès des fonds souverains. Pouvez-vous nous préciser vos objectifs en la matière ?