Monsieur Castaner, de tous temps, les gouvernements, quels qu'ils soient, se sont tournés vers la Caisse des dépôts en cas de difficultés. Il n'est pas exclu que cela puisse se reproduire, mais nous devons veiller à savoir dire ce qui n'est pas possible. C'est en tout cas la responsabilité de la commission de surveillance et votre responsabilité de commissaires aux finances qui nous en avez désignés membres.
Madame Dalloz, au moment où l'État apportait France Télécom au FSI, il n'imaginait pas que trois ans plus tard, sa valeur se serait dépréciée de deux milliards d'euros ! En revanche, s'agissant de la quatrième licence de téléphonie mobile, il était évident que la puissance publique se donnait elle-même un coup de poignard.