Je constate qu'il y a de la fébrilité dans le débat. Si la sérénité était dans votre camp, comme l'a prétendu M. Le Roux, mes chers collègues, vous ne devriez pas réagir à mes propos.
Il y a un motif pour lequel la plupart d'entre nous se battent contre ce texte, c'est le droit de l'enfant, l'appréciation du concept d'égalité.
Notre combat mérite d'être mené jusqu'au bout, avec la même détermination qu'au cours de la première lecture. Ce qui nous importe à nous tous, c'est que l'enfant ait le droit à un père et à une mère, et cela vaut bien un combat. (Applaudissements sur de très nombreux bancs du groupe UMP.)