Nul besoin non plus d'appeler à la rescousse un supposé ordre naturel, historiquement si connoté – faites attention ! – qui, sur le fondement de la seule proclamation de son existence, condamnerait notre démarche.
Nul besoin enfin d'invoquer je ne sais quelle exception française qui, le jour où la Nouvelle-Zélande fait le choix du mariage pour tous, ne peut qu'illustrer le retard de notre pays, que nous rattrapons justement depuis le 6 mai 2012.