De fait, je tiens à le dire aujourd'hui à tous les opposants à ce texte : vous prêchez pour une cause perdue ; vous ne pourrez jamais revenir en arrière. L'aspiration de nos concitoyens a toujours été d'aller vers plus de droits, vers plus de libertés individuelles. C'est le vent heureux de l'histoire. En cela, comme l'a écrit Jean-Claude Bologne, « le mariage a été et demeure un miroir fidèle de la société. »