Je ne reviens pas sur le long débat que nous avons eu au sujet des résidences secondaires. Je regrette que l'on ne prenne pas en compte nos concitoyens qui, pour des raisons professionnelles mais pas seulement d'ailleurs, vivent dans deux résidences à la fois, participant au développement d'une économie résidentielle dans nos territoires où, par leur présence, ils génèrent de l'activité économique et de l'emploi à l'année. Cette économie résidentielle est trop souvent ignorée. C'est pourquoi j'ai déposé l'amendement CE 48.