Car les bons, ce sont eux, ces jeunes généreux qui ne manifestent pas pour eux-mêmes mais pour leur vision de la société, des rapports humains et de la personne humaine.
Nous constatons également de la brutalité dans la gestion parlementaire de notre débat. Rien ne nous a été épargné : refus de la commission spéciale, refus de la communication de l'avis du Conseil d'État, refus par le Conseil économique et social aux ordres du Premier ministre des 700 000 signatures évoquées par mon collègue Marc Laffineur. Et ça continue ! Le président de notre groupe a demandé explicitement que le temps maximal lui soit accordé dans le cadre du temps programmé. L'alinéa 10 de l'article 49 de notre règlement ne précise absolument pas qu'il est réservé à la première lecture ! Il peut tout à fait s'appliquer à une deuxième lecture et vous le lui avez refusé, monsieur le président de l'Assemblée !