De fait, les risques qu'il dénonce peuvent parfaitement exister aujourd'hui. Cela ne change rien.
Madame la garde des sceaux, monsieur le rapporteur, je trouve vos arguments assez faibles : à vous entendre, nous risquerions d'avoir affaire à des gogols qui vont s'imaginer que le mariage religieux emporterait les effets d'un mariage civil.