Il fallait alerter sans alarmer. Aujourd'hui, nous constatons qu'avec le soutien de l'ensemble des professionnels de santé, qui se sont mobilisés, les prescriptions se sont réorientées en direction des pilules de première et deuxième générations et que d'autres modes de contraception sont aujourd'hui mis en avant. Une campagne d'information va être lancée dans quelques semaines, qui permettra d'informer l'ensemble des femmes sur la diversité des moyens de contraception qui existent.
Vous le voyez, monsieur le député, la santé des femmes est, pour le Gouvernement, une priorité.