Au terme du désengagement de nos troupes, 1 000 soldats français resteront au Mali en fin d'année, avez-vous annoncé. Le Secrétaire général de l'ONU souhaite pour sa part que les effectifs des casques bleus atteignent, à terme, 11 200 hommes. Quant aux responsables américains, ils affirment que la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) « n'est capable de rien » et ne saurait prendre le relais. Enfin, l'ONU réclame la mise en place d'une force parallèle aux troupes de maintien de la paix, qui continuerait à mener des actions contre le terrorisme.
Comment articulez-vous ces différents éléments ? Qui composera cette force parallèle, et à quelle échéance ?