Nos forces ont visité toutes les vallées de l'Adrar des Ifoghas. Elles ont remporté des combats significatifs et récupéré beaucoup de matériel. Elles sont maintenant présentes à Tessalit et à Kidal, et les Tchadiens à Aguelhok.
Vous avez raison de souligner qu'il faut accélérer le processus et, parfois, couper court à la palabre. Nous devons exercer une pression permanente pour que les choses avancent. La résolution des Nations unies aura un poids, mais je pense que le processus de réconciliation ne sera opératoire qu'après l'élection présidentielle. Aujourd'hui, chacun reste sur la réserve.
Il faudrait à tout le moins que le président de la commission nationale du dialogue et de la réconciliation se déplace à Kidal.