Nous demandons donc à M. Guedj de retirer son amendement de suppression pour nous permettre de discuter de ce texte au fond. Personne ne comprendra que nous ayons refusé de discuter d'un texte sur le handicap alors qu'il y a urgence. Vous nous renvoyez aux calendes grecques en nous affirmant que des textes seront déposés mais, pour l'heure, comme soeur Anne, nous ne voyons rien venir. Nous préférerions discuter aujourd'hui de ce texte, qui est de qualité, plutôt que d'attendre on ne sait quelle échéance.