La réponse de mon excellent collègue Michel Issindou est franche et claire : c'est « non ».
Ne faudrait-il pas plutôt revaloriser les pensions des retraités pauvres en limitant les facultés de cumul des retraités les plus aisés ?
Le fait, comme le souligne le rapport de l'IGAS – j'y reviens, je n'y résiste pas –, que deux tiers des bénéficiaires du cumul emploi- retraite, hors ASPA, poursuivent leurs activités auprès de leur dernier employeur pose aussi la question du transfert des emplois vers les jeunes générations.