Le 2 mai, j'ai rencontré une cinquantaine de chefs d'entreprise du club des entreprises du pays foyen, à dominante rurale et très touché par le chômage, qui ont exprimé leur impatience. Les banques proposent bien aux TPE un cofinancement de la BPI pour partager les risques, mais elles ne prennent même pas la peine de recevoir les TPE, qui comptent deux ou trois employés. La BPI répondra-t-elle à leurs attentes sachant que certaines d'entre elles n'en ont jamais entendu parler ? Comment communiquer pour que les très petites entreprises, celles de l'artisanat, du commerce et des services, ainsi que les créateurs d'entreprise, ne restent pas à l'écart ?