Intervention de Arlette Grosskost

Réunion du 15 mai 2013 à 9h00
Commission des affaires économiques

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArlette Grosskost :

Vous qui ambitionnez de combler les failles du marché, monsieur le directeur général, dites-nous quelle est votre définition du « bon business » et du « mauvais business ».

Vous expliquez dans le document que vous nous avez fait parvenir que la BPI « définit des cibles de niveau de rentabilité et de risque pour le groupe et pour chacune de ses activités, et en assure le suivi sur la base d'indicateurs quantitatifs dédiés ». Pourriez-vous nous en dire plus ?

Alors que la trésorerie des entreprises ne cesse de se détériorer et que les délais de paiement augmentent à nouveau, il conviendra de renforcer le dispositif du fonds de garantie des crédits de trésorerie et de le faire savoir, en particulier aux TPE et PME.

Vous précisez que BPI France évolue en fonction des besoins du marché évalués en permanence par vos équipes. Vous poursuivez : « si la situation le justifie, BPI France ne s'interdit pas de prendre des décisions de financement ou d'investissement (sur ses fonds propres), dérogatoires à la présente doctrine. » Qu'entendez-vous par là ?

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