Je souhaite rendre hommage au groupe d'Aix pour les efforts qu'il déploie, dans un contexte particulièrement difficile, afin d'essayer de maintenir un lien et de faire avancer les dossiers.
On connaît la dépendance de la Palestine vis-à-vis des bailleurs de fonds étrangers : est-on assuré du maintien durable des aides dont elle bénéficie ? Est-il sain pour elle de vivre ainsi sous perfusion, même si d'autres solutions sont difficiles à trouver ?
S'agissant des start-up spécialisées dans la haute technologie, qui sont nombreuses en Palestine, ont-elles des relations avec Israël ? N'est-il pas possible d'ouvrir par ce biais des pans plus prometteurs de coopération ?