Ce choix politique, c'est de répondre aux millions de Français – plus de 60 % des habitants de ce pays remplissent les conditions pour accéder au parc social – et de s'en donner les moyens.
Quelques questions ont été légitimement posées. M. Folliot a ainsi posé le problème des zones rurales et les zones détendues. Dans ces dernières, le relèvement du plancher de 25 % ne s'appliquera pas. Nous avons élaboré un projet de loi équilibré, longuement discuté en commission, et qui répond à un besoin. Mais également un texte qui assume son orientation politique, celle d'une majorité qui a décidé de ne pas faire des phrases ou des effets d'annonce autour de la crise du logement, mais d'agir.
MM. Lambert et Jibrayel ont parlé de la répartition par quartiers.