Je regrette moi aussi l'abrogation du DIMA, qui permet de proposer à des élèves n'ayant plus de goût pour l'institution scolaire un parcours différent. En première lecture, Mme Marie-George Buffet m'avait répondu qu'en pareil cas, il fallait rencontrer le jeune concerné pour le convaincre qu'il faisait fausse route. Mais le choix de ces élèves est souvent un choix réfléchi. Nous connaissons tous des jeunes qui profitent avec bonheur de ce dispositif. Nous l'avions établi par pragmatisme ; vous le supprimez par idéologie. J'espère qu'un jour, le pragmatisme prévaudra à nouveau.